Comprendre le territoire pour mieux en évaluer le foncier – épisode 2
Le cadre physique du territoire est abordé au travers de la situation et du relief ; un vocabulaire plutôt de CM2 alors que des techniciens utiliseraient le terme de « topographie ».
Y sont décrits les plaines et leurs coteaux – ce qui nous interpelle quant à l’impact de ces reliefs sur les productions viticoles et l’organisation économique du territoire.


Puis les montagnes et leurs versants – ce qui nous fait penser d’un point de vue pessimiste aux inondations, aux coulées de boues et donc aux risques, le terme PPRN n’existait pas encore ; ou d’un point de vue optimiste, les termes Ubac ou Adret évoquent à dessein les choix d’orientation, de vue et d’ensoleillement, facteurs de plus-value des biens immobiliers.
Le descriptif de ce chapitre est complété par ce que représente les cotes et les actions de la mer– ce qui fait écho à l’érosion et au trait de côte et encore une fois aux risques naturels.
Après le dessus, le dessous. Il est demandé aux élèves d’étudier le sol et le sous-sol en liaison avec l’agriculture : limon, sable, craie, mais aussi argile – et encore un renvoi vers les risques liés à la sécheresse.
Etude à compléter par une analyse de la perméabilité plus ou moins importante – ce qui m’incite en tant qu’expert à me poser la question de l’assainissement non collectif (ANC).
La suite du cadre physique au prochain épisode
