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Association pour le developpement de l'expertise en valeur

Comprendre le territoire pour mieux en évaluer le foncier – épisode 3

Toujours sous l’angle de l’aspect physique d’un territoire, le thème climat et végétation est abordé. Il est demandé aux élèves de noter les températures (le mot canicule n’est pas à l’ordre du jour dans les années 50), le nombre de jours de gelée, de neige, de pluie et d’en apprécier l’impact sur l’agriculture.

Les vents : sont-ils annonciateurs de pluie ou de sécheresse ? On retient que le vent d’Est est le vent de la pluie, ce qui nous renvoie au choix des orientations architecturales des murs pignons et des façades


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Quelles sont les caractéristiques de la végétation ? Quel est le rôle des arbres dans la protection du sol contre le ravinement des eaux ? En tant qu’expert, la façon dont est organisé l’environnement de la maison quant à la survenance d’un risque de coulée de boues n’est pas neutre. Par ailleurs l'obligation règlementaire environnementale (ORE) peut nous amener à estimer l’impact financier de cette ORE sur le foncier du propriétaire concerné.

Les cours d’eau : leur abondance ou leur rareté donne son caractère à un paysage en relation avec le climat. Quelle est son utilité ? Navigation, irrigation, houille blanche ? Un appel à la réflexion économique est demandé quant à cette ressource sur l’activité humaine et plus loin sur l’immobilier.


Après le cadre physique, c’est le cadre humain qui est abordé et en premier lieu l’analyse porte sur la maison rurale

Le choix de son emplacement : il s’explique par la proximité de l’accès à l’eau potable. Ce critère est la conséquence des besoins primaires à satisfaire. Antérieurement on peut imaginer que la question de la sécurité était primordiale alors que de nos jours c’est la vue offerte qui primerait pour des néo ruraux ?

La suite de la réflexion sur l’évolution de l’habitat humain au prochain épisode


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